Cet essai examine le paradoxe entre l'institution temporelle de la chrétienté depuis Constantin et le christianisme originel, et oppose l'inquisition à la philosophie des Lumières. Il revient sur le message du Christ, une éthique à portée universelle, émancipatrice et exigeante, en se fondant sur la critique de chrétiens anticléricaux, dont Kierkegaard ou Erasme.